BILAN ET DIAGNOSTIC OSTÉOPATHIQUE

 

 

Passionné d’ostéopathie  depuis 1973, J. Astruz (Photo) a découvert une technique de recherche qui, appliquée à l’ostéopathie, permet de répondre à des questions que nous nous posons tous : la finalité et le déroulement d’un traitement. Il l’a appelée G.S.R. Il s’agit d’un fil conducteur, d’un guide.

 

 

Le groupe de recherche de Vence (Alpes-Maritimes), constitué de J.Astruz, Ph. Lescarret, M. Frescal, D. Dupuy, J-F. Dubois, traite tous ses patients depuis 1995 en fonction de cette technique.

 

Il a été amené à élaborer un PROTOCOLE qui s’est structuré au fur et à mesure.

 

Parmi les progrès de l’ostéopathie, G.S.R marque une étape depuis les découvertes de ses inventeurs. Nous ne pouvons ignorer les dernières avancées scientifiques, il faut les intégrer dans nos traitements.

 

L’ostéopathie doit continuer à s’améliorer, tout en conservant ses principes de globalité et de respect de l’organisme.

 

Ce protocole s’efforce de tenir compte des découvertes récentes, quand elles peuvent être appliquées à l’ostéopathie.

 

Principe de Base :

                                  

L’ostéopathie est une thérapie qui se veut globale.                                 

Ce qui n’est pas l’élément nouveau, mais un principe loin d’être toujours appliqué. C’est-à-dire s’efforçant de voir un individu dans son ensemble et non pas une épaule ou des vertèbres plus ou moins bien empilées les unes au-dessus des autres.

 

Cet individu qui se plaint, entre autres, de son dos, est aussi un être vivant qui doit faire face à un certain nombre de contraintes dues aux différents stress de la vie moderne.

Le traitement ostéopathique, s’il est indiqué, est la réponse à une plainte exprimée par un patient, qui doit être décryptée et qui doit déboucher sur un plan d’action individualisé, précis et rigoureux dans sa chronologie.

 

Le praticien doit comprendre ce qu’il fait et pourquoi il le fait.

 

Denis Brookes disait : 

« Si tu ne sais pas ce que tu fais, alors ne fais rien »

 

On voit trop de praticiens se laisser guider par leur « intuition », plutôt que par un raisonnement.

 

                     Ce qui nous manque le plus, c’est :

 

Ø      De faire un diagnostic fiable.

Ø      De savoir quelle interface utiliser.

Ø      De savoir par où commencer.

Ø      De connaître le déroulement du traitement.

Ø      De connaître la cible à atteindre.

Ø      De vérifier la validité du traitement.

 

C’est ce à quoi répondent le G.S.R et son application par le Protocole.

                                  

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